M…., il est plus de 16h ! La course au bus reprend. Dans le métro, on court, on se faufile, on se trompe, on se bouscule puis on en sort, trempés de sueur.
Encore
du retard ? On laisse tomber nos sacs à terre et on s’affale dessus … Vivement ce soir qu’on se couche !
18h. On embarque enfin.
Cinq heures de bus. Des vastes parcelles de monoculture jusqu’à la côte hyper urbanisée, en passant par des collines plantées d’eucalyptus et de jolis étangs.
Du vert, du vert partout (un géant agricole!) ...puis du béton.
Pendant plus de deux heures, on ne fait que traverser des villes dédiées au tourisme de masse. Immeubles, galeries commerciales,
fêtes foraines… on espère vraiment trouver autre chose à Paraty.